nom : Schwartz, elle est fière de la porter, ayant toujours porter son père comme un grand héro, comme de nombreuses filles à papa sans doute, mais pour elle son père est l'emblème de la perfection. prénom(s) : Savanna est le prénom de la meilleure amie de sa mère, très rapidement elle a été surnommée Savi pour qu'il n'y ait aucune confusion. Elly comme sa grand-mère paternelle, qui était une jeune femme forte, avec un caractère très difficile parfois. Et Jane comme dans la fameuse histoire avec Tarzan, sa mère a toujours adoré cette histoire, et Savi n'a jamais voulu réellement comprendre le choix de ce troisième prénom. âge : Vingt-sept ans. lieu et date de naissance : Le 17 janvier à San Francisco. statut civil : Fiancée et heureuse, commençant à prendre un réel plaisir à faire l'organisation du mariage. métier/occupation : Anthropologue judiciaire. nationalité : Américaine depuis toujours. orientation sexuelle : Hétérosexuelle. caractère : Pleine de vie, souriante, patiente, curieuse, déterminée, calme, protectrice, fidèle, têtue, culottée, indépendante, jalouse, imprévisible, intelligente. groupe : Inhabitants. avatar : Katerina Graham. type de personnage : Scénario.

✂ l'hôpital t'y vas souvent ? Pas vraiment, ce n'est pas un lieu que j'affectionne particulièrement, je préfère être dans mon laboratoire pour étudier les divers os d'un cadavre et trouver la cause de la mort.
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? Je ne suis pas du genre à pleurer, lorsque je n'étais qu'une enfant, il m'arrivait souvent de me couper, notamment parce que j'adorais visiter les forêts, aller dans le parc, monter dans les arbres, je ne jouais pas à la poupée, alors me couper c'était assez fréquent, j'ai même quelques cicatrices.
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? La médecine douce sans hésiter, je n'ai jamais été gravement malade, alors la médecine douce m'a toujours convenu, bien que si jamais je tombais gravement malade, je pense que je prendrais vraiment les médicaments prescrits.
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? Durant mes années au lycée je fumais, sans doute pour être dans la "tendance" faire comme mes amis, mais j'ai rapidement compris que ce n'était pas pour moi et ma mère a découvert que je fumais, alors j'ai tout arrêté. Depuis je ne fume plus, je bois occasionnellement et je ne fais pas dans l'excès.
✂ t'as des problèmes de santé connus ? Aucun problème de santé, bien qu'il m'arrive souvent de ne pas mener une vie saine, n'ayant pas souvent le temps de déjeuner, un sandwich ou alors des gâteaux suffisent à combler mon estomac.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? Aucun à ma connaissance, bien que mon père est une calvitie assez avancée, mais je ne pense pas que cela compte. Généralement dans ma famille nous mourrons de vieillesse ou d'un accident quelconque.  
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? J'ai plutôt un bon système immunitaire, je n'ai aucune allergie à ma connaissance, ce qui est plutôt pratique, et je suis rarement malade, pourtant je ne suis pas du genre à prendre des vitamines pour être en forme.

chapitre 1. mon père n'a jamais été Bill Gates.
Je lui tirais les cheveux, je lui en arrachais quelques uns au passage, je tirais encore et encore et sa tête s'arracha enfin, je la laissais rouler sur le sol, je penchais un peu ma tête pour voir ce qu'il y avait dans son corps, c'était le vide total ! Oui, les Barbies n'ont aucun organe, et aucun cerveau. Alors Mommy a peut-être raison, les blondes sont des écervelées et ne servent à rien, comme la voisine qui s'amuse à tondre son chat et à lui mettre un bonnet. Je n'ai jamais réellement aimé jouer à la Barbie, je préférais courir dans le jardin ou alors foncer dans les murs avec mon petit vélo jaune et rose. Mon père adorait jardiner, alors j'ai arraché des tulipes, des roses. Mon enfance a été calme, enfin si on ne compte pas toutes les bêtises que j'ai pu faire, et il ne faut mieux pas entendre celle que j'ai faite avec mon frère jumeau. J'ai grandi dans une petite maison à San Francisco, mais à mes neuf ans j'ai été contrainte de ranger mes jouets, mes cahiers dans des cartons, mon père ayant obtenu une promotion notre famille pouvait bénéficier d'une meilleure maison, alors on s'est retrouvé dans un quartier plus beau. Je me suis retrouvée dans une nouvelle école, beaucoup plus proche de la maison, heureusement d'une nature très bavarde, j'ai réussi à me faire rapidement des amis. Je n'ai jamais vécu dans une famille où le soir on dégustait du caviar ou du foie gras, au contrairement généralement on avait des frites ou du riz. Mais je savais qu'avec ma passion pour le droite, les fouilles, les corps, je ne pouvais pas me permettre de rester coincer sans argent pour mes études. Alors j'ai du agir, j'ai trouvé un petit boulot de serveuse dans un café, dès que je sortais des cours je fonçais et lorsqu'il n'y avait pas foule, je faisais mes devoirs, bien que je n'ai jamais ressenti le grand besoin de réviser, toujours en avance par rapport aux autres.


chapitre 2. les choses peuvent changer en peu de temps.
J'ai voulu quitter la maison familiale pour avoir mon intimité, alors avec mon frère nous avons pris un appartement en colocation dans un petit immeuble, pas toujours très calme, avec des voisins bruyants, fêtards. Alors que mon frère choisissait de s'épanouir dans le monde la photographie, je m'épanouissais de plus en plus pour atteindre le métier que je rêvais d'exercer depuis ma plus tendre enfance : anthropologue judiciaire. Cette année-là alors que je venais d'avoir mes vingt et un ans, j'ai rencontré Adriel, il avait l'apparence d'un homme parfait, il ma couvert de nombreux cadeaux, je ne me méfiais pas de lui, mon amour me rendait aveugle vis-à-vis de lui, mon frère m'a souvent mis en garde, il ne l'aimait pas du tout. Le problème avec Adriel est qu'il n'avait pas une situation stable, il changeait de métier régulièrement, il mentait, ce n'est qu'au bout de quelques mois que j'ai découvert la vérité, il était trafiquant de stupéfiant, j'ai même voulu prévenir la police, sauf qu'il n'a pas hésité à me menacer avant de voler toutes les économies que j'avais faite depuis de longues années pour faire un voyage en France. Mon frère a voulu le retrouver, mais sans succès, il avait déjà pris un billet d'avion en direction de l'Amérique du sud. Je n'ai jamais voulu parler de ce problème avec mes parents, ayant bien trop honte d'avoir été arnaquée par un idiot et c'est bien pour ça que j'ai voulu éviter les hommes ensuite, bien trop méfiante. Et cette année-là pour Noël mon frère a annoncé à toute la famille au repas familiale, qu'il partait en direction de Washington ayant rencontré un grand photographe qui désirait le prendre sous son aile. J'avais envisagé le suivre, mais j'ai compris qu'il voulait prendre ses distances, sans doute du aussi à son homosexualité qu'il n'a jamais assumé, je l'ai donc laissé partir, gardant tout de même un contact proche avec lui.

chapitre 3. mes amis ont toujours été les meilleurs.
Alors que mon frère n'était plus là, mes amis ont été très présent, particulièrement mon meilleur ami, qui se confiait beaucoup à moi, tout comme je me suis toujours beaucoup confiée à lui. Je me souviendrais toujours de ce matin où il est arrivé en furie chez moi, ne prenant même pas la peine de sonner, étant donné que j'ai toujours eu la fâcheuse habitude de ne jamais verrouiller ma porte d'entrée. Il avait découvert l'existence de son grand frère, je l'ai écouté, conseillé comme à mon habitude et il m'a écouté. Mon meilleur ami a tenu à ce que je rencontre son frère, j'ai donc accepté, assez curieuse de le découvrir, de plus il venait d’Angleterre, un pays que j'ai toujours idolâtré. J'ai commencé à connaître le fameux Edward, il était beau et il était intéressant. Mais je semblais lui plaire, cela me flattait beaucoup je dois l'avouer, mais ma dernière relation amoureuse m'a rendu un peu méfiante et pas aussi facile. Alors j'ai joué avec lui, je le faisais languir, c'est même devenu rapidement un jeu pour moi, mais mon jeu a pris une forme différente, j'ai fini par tomber amoureuse de lui, il partageait les mêmes sentiments. J'ai donc arrêté de fuir la réalité, pour enfin goûter au vrai bonheur de l'amour. Début septembre il a osé me demander en mariage, mais je n'ai jamais été la fille qui rêvait d'un beau mariage, d'ailleurs je n'avais jamais pensé auparavant que notre relation allait prendre un tournant aussi sérieux. J'ai réfléchi, je ne voulais pas dire non, ayant de vrais sentiments, mais si je lui disais oui je m'engageais vraiment et cela me faisais peur. Mais je lui ai dit oui, l'amour prenant le dessus, je ne regrette pas mon choix, car je suis heureuse avec lui. Cependant quelque chose commence à me rebuter, je ne connais pas sa mère, et j'aimerai beaucoup la rencontrer, mais derrière tout ceci se pose une autre question : un bébé ? Alors que le mariage n'était pas une chose à laquelle je pensais auparavant, avoir un enfant n'était pas le cas non plus, mais depuis que je suis avec Edward j'ai ce désir d'avoir un enfant, bien que mon métier est prenant, mais je sais que je vais pouvoir gérer. Je voudrais donc en parler avec lui, mais j'ai peur qu'il ait une réponse négative concernant ce désir.